Sous l'objectif!

dimanche 14 novembre 2010

L’homme qui refusait d’être mis à l’index (La Presse - Cahier A, 13 nov. 2010, Page A28)




L’homme qui refusait d’être mis à l’index
LAURA-JULIE PERREAULT
La Presse - Cahier A
13 nov. 2010

Plus d’un an après s’être vu refuser l’entrée au Canada, l’ex-député britannique George Galloway débarquera au pays la semaine prochaine, promettant d’en faire voir de toutes les couleurs au gouvernement Harper. Depuis l’an dernier, l’exdéputé...lisez plus...

mercredi 10 novembre 2010

Une journée comme une autre!!!

Le soleil plombe et contrairement à vous, je ne livre pas. Je dois déposer un document sur l'organisation d'un évènement monstre et la planification de commandite au Par Maisonneuve qui servira de levier de financement pour une OSBL: Vive le vent et je procrastine à fond. On s'entend qu'on à surement vue des clients plus passionnants. Surtout, qu'on ne tiendra jamais cet évènement... 

Chaque jour je deviens plus endoctriner. À lire Desmarais et Péladeau, on s'entend que je ne développe pas mon esprit critique sur le Management et la vision du développement enseigner depuis plus de 60 ans. Le management traditionnel de Harvard à fait son temps, mais pourtant ses plus fervents gourous sont nos dieux de l'information. Pendant ce temps au HEC, un professeur titulaire et fervent militant pour l'Alter Management, M. Omar Aktouf subit des pressions quotidiennes venant des dirigeants de son école visant la destruction de sa crédibilité. À Paris, on crée un nouveau programme d'Alter Management inspiré des écrits et des théories de ce professeur. HEC Paris n'est-il pas la plus grande école Européenne formatrice des plus hauts dirigeants? La propagande est si forte, qu'il est facile d'accusé de folie ceux qui oserait s'élever contre les valeurs de nos puissants hommes d'affaires. La majorité des grands théoricien du Management son des anciens ingénieurs qui n'ont jamais travailler en entreprises....Webber en est un de ceux-la.

Mes profs titulaires en sont d'autres exemples. À voir la face qu'il font quand on leur demande : quels sont vos expériences en milieu entrepreneurial? Bref, par chance qu'il y a encore des chargés de cours hyper passionnant et certains profs totalement dévoués pour compenser à la petite clique de mouton qui m'enseigne et me répète comme opinion ce que je lis dans les torchons de Gesca...(Plein feu sur les mensonges de Harper et de Charest, propagande contre la Birmanie... on s'entend qu'il n'est pas dans les intérêts de nos dirigeants que les Birmanes, forteresse chinoise est l'empathie de l'opinion publique. Comme si le vol d'élection ne se faisait pas en Algérie, en Tunisie, en Turquie, En Afghanistan, en Iran, aux États-Unis, en Corée, En Russie..... 

Accepter que notre pays soit diriger par un con c'ets grave. Accepter que notre Premier Ministre affirme en notre nom : Que nous préférons être fidèle à nos valeurs et a notre amitié avec Israël que de satisfaire les attentes pour avoir notre siège au Conseil de Sécurité de l'ONU.... c'est suicidaire. Bref, même si l'ONU nous démontres son impuissance et son incohérence chaque année, cela justifie-t-il notre indifférence?  J'capote ahahah! Non mais bon, après une montée de lait, je suis conscient qu'au quotidien nous pouvons arriver à créer autre chose de plus satisfaisait, dont des entreprises locales dynamiques qui acceptera de s'autoréguler. Pas les contrats ni la comptabilité mais les employés. Des employés autonomes, dynamiques et créatifs en qui ont à confiance, voila l'une des premières valeurs de l'Alter Management. Voila des qualités qui vous ressemble. Avec le talent que vous avez, il doit être logique de reconnaitre votre intelligence! :P

Grand Corps Malade - Roméo kiffe Juliette (Clip Officiel)

samedi 6 novembre 2010

Allons droit au rêve!

Rêve de terre, de vie sauvage dans les montagnes, de sourires édentés de gamins respirant le bonheur, de moutons, de bouvier bernois, de chevaux... à défaut de voir se réaliser une société meilleure sainement dirigé... Nous avons le pouvoir... de faire le vide! Et de rêver son monde meilleur...

mercredi 3 novembre 2010

Les troubles identitaires : une question de santé transculturelle

« Nous avons besoin de la prospérité économique et du respect de l’environnement. Il nous faut produire plus efficacement la richesse et la distribuer plus équitablement entre les individus et les nations. Nous devons garantir les droits des personnes et ceux des communautés qui leur servent de matrices linguistiques et culturelles. Il nous faut respecter la souveraineté des peuples et nous donner en même temps la capacité de gérer avec justice et efficacité les forces de la globalisation qui échappent aux pouvoirs étroitement territoriaux des «États-nations. »[1]

André Brunelle, ex-conseiller des gouvernements Trudeau et Mulroney, dans son texte « Les idées ont-elles encore leur place en politique », attire notre attention sur l’émancipation des idées politiques. Lorsque la santé des peuples et des communautés se voit brimé au détriment de leurs matrices culturelles et linguistiques ces populations voient leur droit être affecté. Le manque d’idée politique et de ferveur de la part des acteurs politiques actuelles, nous démontre une grande faiblesse de notre système d’organisation sociétale, c’est du moins ce que tente d’exprimé André Brunelle dans son texte cité plus haut. Le monde économique basé sur l’aliénation des individus en substituant l’être pour le paraître démontre clairement un grave problème identitaire. La non reconnaissance de plusieurs États, plusieurs nations, ou de divers groupes culturels aggrave ses problèmes. À beaucoup d’endroit dans le monde, les questions culturelles servent d’excuses ou d’échappatoire à l’application des droits de l’homme. Quand est-il de la situation au Québec? Comment l’identité québécoise peu elle influencer les questions de santé du peuple? En quoi une mauvaise gestion politico-économique des États par les politiciens peu devenir un trouble identitaire collectif et individuel? Pour répondre à ces questions, j’observerai la situation politique du Québec, la crise identitaire marquée par la Commission Bouchard Taylor et élaborerai le concept de trouble identitaire. Ensuite, j’expliquerai en quoi l’ethnomédecine et l’ethnopsychiatrie permettent de mieux saisir le sens des différences par rapport aux troubles identitaires collectifs et individuels plus précisément en coopération internationale.






La conviction politique

Les propos de l’auteur tente à démontrer le mal aise politique des questions idéologiques au Québec. J’ai retenus du texte d’André Burelle, le profond manque d’idée des politiciens entraînant une indifférence à la vie politique. Ce manque crée par l’envie du paraître au lieu d’être. Le fait de ne pas avoir un sens dirigés à notre société permet mal à l’individu de trouver son propre sens. Nos sociétés ne sont plus basées sur des rapports idéologiques axés sur des perspectives d’avenir mais bien sur le modèle de rendement économique. Pour appuyer cette affirmation, il aborde le rejet du Québec-association de Lévesque ou le rejet du projet de Trudeau. L’auteur nous démontre que ce monde irréel, de la valeur marchande et de la bourse entraîne l’individu à s’aliéner  au sein d’un travail productif. Ce même travail, en quoi, il ne voit en rien l’aboutissement concret de sa réalité. Ajoutons a cela un désintéressement chronique de la vie collective pour un isolement volontaire de l’individu bien confortable au sein d’une sécurité matérielle. Donc, le manque de conviction politique et le manque d’implication citoyenne au sein de la société a des effets sur le concept de l’identité collective. Essayons de ce fait d’imaginer la complication qu’est l’intégration des immigrants tentant d’intégrer une société en quête d’identité.

La crise identitaire

Le manque de leadership et de vision politique permis la crise identitaire, qui nécessita la tenue d’une commission publique en 2008. Le mal aise identitaire au Québec s’est ressentit fortement lors de cette « Commission Bouchard-Taylor ». Cet exercice de définition identitaire creva l’abcès sans doute d’une réalité profonde au Québec, la peur d’autrui, la peur de soit et la peur de prendre sa place. Par contre, de cette réflexion rien n’a été considéré, aucune réforme visant une meilleur intégration des immigrants au Québec n’est ressurgit, en date d’aujourd’hui. Dans un texte paru dans la section opinion du Journal La presse, Jeanne Boisclair, présidente de la Commission d’intégration citoyenne du parti Québec solidaire affirme, que le rapport émis suite à la commission, accentue trop l’importance à la reconnaissance de l’identité collective québécoise dite de souche. En faite, elle mentionne bien les problématiques surmontées par le Québec et les causes des multiples restrictions pour protéger les matrices linguistiques et culturelles datant de 400 ans.  Par contre, elle mentionne que la majorité de francophone et nos souffrances passées ne doivent pas justifiés de faire des minorités culturelles notre bouc émissaire des questions identitaires. De plus, l’auteure de cet article croit profondément que la construction de l’identité culturelle passe par une représentation des différentes cultures au sein des processus participatifs de notre société. Elle considère la richesse du Québec comme étant cette pluralité culturelle qui doit interagir par la compréhension et le partage. De ce fait, le rapport Bouchard Taylor disait « les constantes interaction entre citoyen d’origines diverses mènent au développement d’une nouvelle identité et d’une nouvelle culture »[2]. Dans cette mesure ou le concept de culture n’est plus cloisonner et qu’il est possible de l’entrevoir en perpétuel changement nous pouvons comprendre la nécessité collective de vouloir déterminé son identité individuelle au sein d’un amalgame de différences. La quête de soi, le besoin d’être reconnus, la fierté et le partage de notre bagage culturel sont essentiels pour permettre à l’individu de s’épanouir au sein d’une société. Ce choc des cultures, le manque de sentiment d’appartenance à la collectivité, la solitude, la peur et l’ignorance sont toutes des effets de différents problèmes de santé. De ces causes, notons le suicide, la consommation de drogue, la déviance, la dépression. L’adaptation d’une culture à un autre pour un individu est déterminante au niveau du développement. Un enfant s’en ressentira de l’exclusion provoquée par l’ignorance, la peur de ses origines, mœurs et coutumes qui sont différents de ceux de la majorité. Ce problème identitaire se retrouve dans nos politiques, dans notre manque d’action pour reconnaître le statut des différences permettant de trouver les points d’encrages à la construction d’une identité collective démonstrative de la pluralité culturelle québécoise. Donc, le but de l’article publié dans la section opinion servait la cause du Québec solidaire qui veut mettre de l’avant une politique plus participative et plus intégratives des minorités culturelles du Québec.

La crise identitaire un problème de santé?

L’importance de la problématique concernant les troubles identitaires prennent leur sens dans le texte intitulé : « Identité des conflits identitaires à la recherche de soi » du Sociologue Jean-François Dortier. En effet, il dénote l’augmentation des publications dans la littérature des sociologues et des psychosociologues. Étant une disciple originairement réservé à l’anthropologie, l’auteur démontre la pertinence des recherches tant au niveau sociologique que philosophiques de cette problématique. De plus, il aborde le rejet des thèses essentialistes des années 1980, pendant lesquels, les anthropologues croyaient que les cultures étaient toutes unique et particulier. Il raconte que depuis, l’anthropologie aborde une nouvelle approche des mutations de la culture lorsque les différences culturelles cohabitent sur le même territoire. À son sens, l’identité collective prend forme au sein des différentes nations, différentes minorité ethnique, culturelles ou religieuse. Tandis que l’identité individuelle représente l’identité sociale, du travail et de genre. Par le travail, il démontrer la substitution de l’être en quête de soi pour un travail réduisant  un individu à l’aliénation. Il aborde la crise existentielle de genre qui prend forme dans les différents modèles de genre offert au sein de la société. Les contre coups de la révolution féministes à laisser des marques dans la redéfinition du rôle de l’homme au sein de la société. Toute ces questions de quête d’identité ou de recherche de sens démontre l’importance que l’humain à de trouver un sens à sa vie. Le manque de sens, le vide permet à l’être de se réfugié au sein de ces mécanismes de défense qui favorise le replis sur sois, la fermeture et l’exclusion. On comprend dans ce texte que l’auteur accorde une grande importance aux différents troubles identitaires d’un point de vue sociologique. C’est les pressions de la société, tant au niveau de la production que du développement, qui entraîne des individus dans des problèmes psychiques ou des problèmes de santé transculturelle.

L’importance de l’anthropologie médicale

Le problème identitaire existe. Les dimension du statut de l’individu : son travail,  son genre,  ses origines ethniques,  ses mœurs et coutumes, altèrent  la capacité de se faire une identité propre. Le choc des différences, l’indifférence et la méconnaissance d’autrui entraînent des problématiques de santé transculturelle. Il est important de donner un sens à une société. D’où l’importance d’avoir des politiciens d’idées au lieu de gestionnaire efficace du modèle néolibérale. Le leadership et la vision d’un politicien pourraient permettre une meilleure intégration des minorités et permettre ainsi à une collectivité de mieux définir sa propre identité. Lorsque cette crise identitaire collective est passée, il faut comprendre que la société impose indirectement des conditions de vies aux individus. La quête de soi s’en voit directement influencer. La perte de balise culturelle, les innombrables choix auxquels nous sommes confrontés et cette aliénation de l’être pour le travail deviennent une cause à des troubles identitaires. Il est important de voir qu’avec l’ethnomédecine et l’ethnopsychiatrie nous pouvons mieux comprendre les constructions historiques, sociales des conditions de santé des différents peuples.  Ces discipline permettent de trouver un sens au mal aise rencontrer et aux différents troubles psychiques ou de santé préalablement déclencher par un problème identitaire culturels. Ces disciplines permettent de ratisser large pour permettre une compréhension aigue de différents problèmes de santé transculturelle. Pour bien comprendre une situation, nous devons la voir de façon globale, à travers son passé et la culture dominante ainsi que la dynamique qui les régit. Qu’il est essentiel de trouver le sens à une situation si nous désirons y apporter réellement une modification ou un changements effectifs. La cohabitation et l’intégration des différents modes culturelles sont au cœur des enjeux de développement et des enjeux politiques du Québec. Par contre cette problématique touche plusieurs autres pays. La présence de cultures différentes est souvent sources de conflits lorsqu’ils cohabitent un même territoire. Du coup cette problématique touche l’organisation des relations internationales donc, de la coopération.

Pour mieux agir au niveau de la coopération internationale, il serait important de cesser cette hypocrisie de l’aide international axé sur l’ouverture des marchés. Cette hypocrisie même qui permet l’accentuation des inégalités, comme en exemple la Colombie et les minières canadiennes. Cette accentuation des inégalités perpétue des problèmes de santé chronique liée à la malnutrition, à la pauvreté et aux mauvaises conditions de vies dans certaines régions. Cette aide, même si parfois, elle est bénéfique ne constituât pas à la réponse approprier aux besoins fondamentales des soins de santés pour tous dans le monde et encore moins au soins nécessaires à ses populations. Comme quoi, pour mieux traiter les questions de santé transculturelles mondialement il faut combattre la maladie infectieuse, qui sévit au sein de nos sociétés, de nos organisations politiques et surtout de nos personnages politiques. Cette maladie de la vision centrée sur le développement et qui néglige l’importance des considérations culturelles dans la compréhension des troubles de santés des populations. Voila tout le sens de cette citation « Nous avons besoin de la prospérité économique et du respect de l’environnement. Il nous faut produire plus efficacement la richesse et la distribuer plus équitablement entre les individus et les nations. Nous devons garantir les droits des personnes et ceux des communautés qui leur servent de matrices linguistiques et culturelles. Il nous faut respecter la souveraineté des peuples et nous donner en même temps la capacité de gérer avec justice et efficacité les forces de la globalisation qui échappent aux pouvoirs étroitement territoriaux des «États-nations. » Par cette citation on saisit bien l’enjeux que représente la cohabitation d’une pluralité culturelles dépendantes les unes des autres dans ce monde globalisant. Il est difficile d’aider réellement des gens, quand nous-mêmes, vivons des périodes de troubles identitaires. Cet exercice de redéfinition des identités collectives au sein de différents pays est marqué par le changement perpétuel des cultures qui se percutent et cohabitent. À l’époque où nous sommes, il est important de connaître ces approches de la médecine anthropologique si nous voulons améliorer les conditions de vies physiques et mentales des différentes populations culturelles. Comme pour l’individu, une approche holistique permettra à une collectivité de mieux comprendre les troubles identitaires sur son territoire. Ainsi, pourrons-nous réduire les inégalités et la discrimination qui régit nos relations sociales.


Bibliographie


BURELLE, André, « Les idées ont-elles leurs place en politique ? »,  Argument, vol.11, no 2, printemps été, 2009, « LE CAPITALISTE EST-IL UNE FATALITÉ ? ».

BOISCLAIR JEANNE, « Cas du Québec : Du malaise identitaires au projet national », La presse, opinion, 30 mai, 2008.

DORTIER, Jean-François, « Identité des conflits identitaires à la recherche de soi », Question de notre temps, Hors-série No 34, sept.-oct.-nov., 2000.


[1]BURELLE, André, « Les idées ont-elles leurs place en politique ? »,  Argument, vol.11, no 2, printemps été, 2009, « LE CAPITALISTE EST-IL UNE FATALITÉ ? », p.7.

lundi 18 octobre 2010

Balle perdu Mme. Lortie

Pour une société saine et des leaders intelligents!: Marche mondiale des femmes: On a assez étiré l'éla...

Ce qui arriva, devait arriver. Je bouille. Au moment même où je vous écris, mon bureau de travail tremble sous les touches tapées chaque quart de seconde. Je vous avais paru sans doute peu animé, voir ennuyant, dans mes premiers billets, mais croyez-moi je suis en beau C****** ! Effectivement, les cours de publicité sociétale m’ont permis de voir l'endos de la médaille, qui se trame, dans la propagande et politicailleries digne d'une déchéance profonde de la pensée collective. Cette pensée soutenue par l’opinion publique est honteuse et anime des débats qui n’ont pas lieu d’être. Cette publicité déployée, dans le cadre d'une stratégie venant de la marche mondial des femmes, est effectivement très forte et elle peut-être questionnée. Là, où je m'insurge, outre la publicité en soi, c’est qu’on en fait une dualité, un débat gauche droite.
Je vous éviterai de donner mon opinion sur les motivations de ces guerres et la capacité de ces hommes à comprendre pourquoi ils font la guerre. Je vous partagerai, encore moins, mon opinion sur Harper et les campagnes de recrutement faites à même nos écoles secondaires. La question de la déchéance de notre statut Canadien reviendra sous peu.
Pour ce qui est du Marketing Social, c'est faire beaucoup avec peu. Pousser les débats et les messages de façon à marquer, afin de se dénicher une place dans le quotidien des gens. Peu de messages provoquent la réflexion et les débats au sein de notre société. Cette publicité, à mon sens, éveil deux questions: Pourquoi acceptons-nous que la propagande gagne nos classes de cours pour encourager un patriotisme propageant la démocratie au nom de l'exploitation des ressources naturelles? Pourquoi les femmes acceptent de faire des enfants, pour en faire de la chair à canon? Je me demande pourquoi la journaliste, Marie-Claude Lortie part sur une dérape. Elle critique la position de La Fédération des Femmes du Québec, par rapport à la situation des inégalités sociales pour les femmes, en réduisant la campagne à un dévouement aveugle envers le parti d'Amir Khadir, Québec Solidaire. Tout ce qui encourage les inégalités, provient du désir de l’homme d’acquérir davantage de richesse et de pouvoir.
Extrait du Devoir, 9 0ctobre 2010 :
Explication de La FFQ: tout ce qui encourage le capitalisme encourage les inégalités sociales et la mauvaise redistribution de la richesse, et donc nuit aux femmes, car elles sont surreprésentées dans les classes défavorisées. En d’autres mots, pour défendre les femmes, on ne peut que prôner un modèle socialiste. En cette transformation politique, si l’on en juge les priorités de La FFQ, a préséance sur le reste. Tant pis pour toutes ces femmes chefs d’entreprise à la recherche de profits et autres traîtres ayant une analyse différente de la transformation des rapports inégalitaires.
Un capitalisme bien développé, tel le suggère Adam Smith, doit être régularisé par des hommes fondamentalement bons, avides de pouvoir et ayant à l’esprit le bien commun.
On peut ne pas aimer l'axe de la publicité comme les moyens qu'elle a utilisés. Par contre, même si la publicité sociétale dans ce cas-ci choque, elle ne doit pas devenir un débat gauche droite, dans lequel encore une fois de trop, on réduit le débat, à la gauche et à la droite, se permettant du même coup, d’écorcher ceux qui militent pour que l’homme soit davantage avide de pouvoir.
Ensuite, elle nous dit que La Fédération supporte Amir Khadir et se colle au parti Québec Solidaire. Chaque jour des articles nous parlent de la mauvaise gauche qui râle. Le problème est le juste milieu. Je ne connais pas les moyens pour ces campagnes, ni les objectifs qu'ils s'étaient fixés préalablement. De là, à faire de la conspiration, j'en ai plein le dos! Le problème est, que les femmes comme les hommes, vivent des situations difficiles. Ce que rapporte la journaliste est vrai, la campagne n'aborde pas certaines problématiques chez les femmes. Par contre, le fait que l'on recrute des enfants pour faire la guerre, que les mères de ce monde ne souhaitent jamais voir un enfant mourir, est définitivement un angle pertinent. Notre armée et nos positions à l'international nous amènent à devoir se défendre et répondre de nos prises de positions, voilà ce qui est inquiétant pour certaines femmes.

En aucun temps, je me suis senti choqué. La classe de femmes dirigeantes dont parle Mme. Lortie, sont sûrement des anciennes diplômées du HEC, travaillant maintenant pour les divisions parallèles à Power Corporation, car appuyer la guerre actuelle qui se livre au Moyen-Orient, c'est affirmer que, nous, Canadiens, détenons la vérité et jouissons pleinement de tous nos droits. Nous avons même le droit de s'accaparer des ressources étrangères au nom du progrès. Si je continue, je ne m'arrêterai jamais plus. Au lieu de critiquer la publicité sociétale et la marche des femmes, Mme. Lortie devrait s'attaquer à ceux et celles pour qui, la justice, l'égalité et la paix ne sont que des concepts théoriques qui nuisent à leur cheminement économique!
Effectivement, au lieu de parler de la situation des femmes et de l’impact de la publicité, nous discutons de la gauche et de la droite. La Marche Mondiale des Femmes a réussi l’objectif de faire parler.
Évidemment, le plus grand problème de la gauche est de vouloir défendre l'indéfendable mais cela n’a rien à voir avec la publicité de cause.
Qui a dit que la publicité sociétale ne faisait pas jaser?

Marche mondiale des femmes: On a assez étiré l'élastique 3